En ce jour il fallait avouer que j’avais un mal particulier à me lever et à faire le travail que m’avait décrit mes associers. Depuis que j’avais hérité de la fortune familiale et de la petite entreprise du pater, j’avais un mal incroyable à me plonger vivement dans l’économie des bars histoires de les faire vancer. Non, je n’y arrivais pas et cela ne m’intéressait pas. J’avais passé ma vie à faire des études littéraires, à me dédier à un travail d’interprète ou d’écrivain, pour finir patron de toutes les boites nuits, centre de strip-tease et bars de cette petite ville de province française, on avait vu mieux. La comptabilité ce n’étais pas mon truc, et rions bien la pente du commerce était sur une pente dure, résultat je devais m’amuser royalement à me planter entre tel ou tel chiffres à donner en dollar ou en euros. Rien de bien passionnant, surtout que cela impliquait de ce balader soit en costumes cinq pièces, un café à la main, et du fric à tour de bras ou en tenue décontracté à parcourir la ville et la concurrence à la recherche de nouvelles tendances pour attirer le people dans les centres de détentes histoire qu’ils claquent leurs argents en boisons et en danses. Mais aujourd’hui, joué les dragueurs ou les hommes d’affaires ne m’intéressait pas j’avais envie de sortir et de visiter un des lieux dont je n’étais pas encore allé à la rencontre, le jardin zoologique aussi dit tout bêtement le zoo. Il m’en avait fallut du temps et beaucoup de bonnes volontés pour déjà enfiler un t-shirt et un jeans, prenant bien soin de cacher les signes de marques dessus, me maudissant intérieurement de ne pas avoir de vêtement plus simples, d’enfiler mes bottes de cuirs sanglés avant de descendre à pied les quatre étages de ma villa personnelle. Mettant à toute hâte ma veste en cuir, je hélai un taxi en me répétant mentalement que non je n’étais plus à New-York et me mis à parcourir à pied les quelques mètres qui m’indisposer entre la porte d’entré et la ligne de métro. Une fois cela fait, je descendis en banlieue après m’être royalement ennuyé, debout dans le monstre de fer souterrain, au beau milieu du tumulte journalier de l’heure des repas. L’horloge sonna midi et demi quand enfin j’arrivai devant le large portail de fer forgé et acheta à toute hâte un billet d’entrée et un plan. Je n’avais pas envie de m’attarder et de flâner, j’avais envie de découvrir rapidement ce qui m’avais toujours fasciné les félins. Je me repérai à toute hâte et courut presque vers la cages des guépards, devant lesquels je m’installai confortablement après avoir pris soin d’acheter sur la routé un café et un croissant que je me mis à déguster seul. Aujourd’hui, je doutais bouger plus que cela, seul le spectacle des rois de la jungle en action m’intéressait et accessoirement la jolie jeune fille de peu ma cadette qui flâner non loin de là que je décida de convier d'un signe de main.
-Mademoiselle! Ne trouvez-vous pas que les guépards sont majestueux?!