Lemon Tree
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Lemon Tree

« La vie est un grand film, où chacun doit définir son propre rôle. »
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Dosan H [loading...]

Aller en bas 
+2
Maria Blanche
James Kurly
6 participants
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeJeu 21 Juil - 17:21


Toi et seulement toi


NE TOUCHEZ PAS AUX ARBRES
BANDE DE CONNARD!



H. Dosan

Famille : Inconnue
Age & lieu de naissance: Environ 30 ans, inconnu
Sexualité : Hétéro
Métiers : Entretien au parc municipal
Groupes : Choquant de colère
Signe particulier : Si vous entendez « LES ARBRES SONT VIVANTS, DONC ARRÊTEZ DE LES TOUCHER! » ou un truc semblable, il y a une très forte possibilité qu’il soit dans le coin.



Et dans cette jolie tête, on trouve quoi?
«Vous touchez aux arbres, vous êtes des connards. Point final.»



Coucou, exprime nous tes sentiments en quelques 13 lignes ^^




C'est physique, c'est sportif, ou pas!
«Citation »



coucou, explique nous à quoi tu ressemble en 11 lignes





Une lettre pour nous...
«Les arbres sont nos amis. Ils sont vivant et ont une plus grande histoire que la plupart d’entre vous. »


- Eh Bob, une bière tiède, s’vous plaît. -cours moment- M’ci.

C’est une soirée comme une autre. Dosan, en client habituel, s’assoit à son siège usé par les âges innombrables qu’il eut fait don de son utilité, faisant un semblant de trou. Bah, pas très profond, mais quand il viendrait le temps pour lui de rejoindre les fauteuils de grand-mère et les petites chaises champagnardes au paradis, il laisserait une marque indélébile de son passage. A moins que je me décide un jour à changer le parquet de bois sombre. La brasserie marchait bien, de ces jours, avec ces nouveaux touristes qui affluaient au bar le temps d’une soirée, qui partaient quelques fois avec un autre buvard du sexe opposé dans un lieu étranger. On ne les sert qu’une fois, et leurs histoires, qui n’ont pas, pour la plupart, besoin d’une oreille attentive aux problèmes, demeurent cachées à jamais. Pendant que j’étais en train de laver un « poc » , format titanesque ( à s’étonner que je n’eus pas à rammasser le propiétaire de ce dernier à terre, agonisant et riant bêtement à la fois ), un de ceux là me hélà, accoudé au bar avec entre les mains un verre de la « glue verte, réservée aux amateurs » :

- C’est qui le gars, là? Il est seul? (il pointa du menton Dosan et son pichet de bière)

- Ah lui. C’est un villageois.


Un villageois gentil et serviable, bien qu’un peu étrange, aux dires, aux expériences, aux conversations qu’on eut chacun chacune. Il fréquente l’établissement depuis sept mois, pluie comme beau temps, populace ou non, envie de boire ou non. Il entre, regarde la salle, identifie précausionneusement tous les visages présents avec les yeux plissés comme si il cherchait quelqu’un. Puis, il secoue la tête, moitié désespéré, moitié narquois. Il s’installe au bar, toujours au même endroit, si bien que les autres évitent de s’asseoir là. Quelques fois, il prend un pichet de bière, qu’il finit à moitié. Sinon, il reste là, un peu fermé au monde. Il me raconte sa journée, ponctuées de jurons légers et d’insultes envers les gens qui ne respectaient pas les arbres. Sur ce dernier sujet, je reste surpris et un peu perplexe. Est-ce qu’on pouvait tant aimer les arbres pour se faire détester des autres de sa propre espèce?

Un soir de neige, douce neige dans laquelle les enfants s’amusent comme des fous le lendemain tellement voir des flocons dans Lemon Tree s’avérait un événement en lui-même, il était arrivé, poussant la porte avec ce que j’avais déduit comme de la fébrilité, qui s’était transfomée en colère contre un fantôme invisible. Les habitants n’avaient jamais vu ce type dans les environs, ce n’était pas un touriste non plus. Il ne possédait pas ces signes caractéristiques : appareils photos jetables, petites shorts et mine extasiée, que la plupart des gens qui passaient leur vacances ici apportaient avec eux. Il ne parlait pas, il regardait la télé en noir et blanc, antiquité reléguée dans un coin, à côté de la vieille machine à sous que personne ne remplissait.

Un programme bizarre passait, un film qui était plus vieux que la machine archaïque elle-même. Une jeune fille avec un foulard noué autour du cou, probablement rose, vêtue d’une robe à crinoline blanche parlait ardement avec un garçon du même âge gréé d’une casquette à l’effigie d’une équipe de sport maintenant désuète et tombée en disgrâce. Encore un de ces films d’amours qui avait passé sous la barre des quatre cents entrées au cinéma, ou au ciné-parc. Mais lui, il fixait les images comme si elles possédaient un deuxième sens, ou quelque chose comme ça. Après quelques temps, il annonça :

- Euh… Une bière s’vous plaît.

Ce qu’il demanda lui fut donné. Glacée, la boisson venait juste de sortir d’un réfrigirateur haute performance. Si l’établissement n’avait pas la meilleure réputation, je me faisais un devoir de servir les breuvages comme ils se devaient, à la température optimale. Mais voilà que le client n’y touche pas. Peut-être qu’il veut attendre un peu… Après une heure ou deux, je commencais à m’inquiéter. Comme je m’avancais pour lui proposer de la refroidir un peu, il cala d’un coup sec son verre tiède et soupira. Il paya la consommation avec de l’argent liquide, me laissant un large pourboire et une mine surprise collée à la figure. Le gars passa la porte et s’enfonça dans l’obscurité.

Le lendemain, tandis que je faisais les gros achats pour une veillée qui s’annonçait lucrative (nous étions le 24 décembre, Noël le lendemain, avec ces gens qui fêtaient en famille, et d’autres qui venaient pour oublier qu’ils célébraient seuls). Pâtes, dinde, légumes d’hiver, farine, bouillon, de quoi faire un petit festin pour ceux qui voulaient manger rustiquement. Mon établissement ne se targuait pas d’être un de ces restaurants de gastronomie cinq étoiles avec des clients pincés qui arrivaient dans leurs plus beaux habits griffés pour manger de toutes petites portions. Je faisais une soupe et une dinde farcie comme ma grand-mère. Voilà tout. Donc, je sortais avec quelques paquets lourds sur le trottoir glacé. Comme de fait, qui dit glacé dit glissade. Les paquets revolèrent partout. Je m’affairai à me relever et à les rammasser quand le même type me porta aide pour escorter ces paquets jusque dans ma boutique. Reconnaissant, je lui offris quelques billets, qu’il refusa :

- Un travail, alors?

- J’ai déjà postulé pour un, ce matin. Je vais m’occuper que personne ne profane les citroniers dans le champ.

Stupéfait, je restai muet. S’en suivi alors d’un discours sur les arbres de la part de l’inconnu, qui se nomma Dosan, comme quoi les jeunes d’aujourd’hui ne respectaient la nature, qu’il était là pour protéger ces beaux anciens qu’il apercevait sous la mince couche blanche qui recouvrait le sol. Je hochais la tête ici et là, mais je ne disais mot. Un taticurne qui débarque du jour au lendemain, sans lien avec une personne d’un village méconnu, qui se donne comme mission de protéger la communauté des arbres des humains, ça ne se trouve pas partout. Dans mon esprit, j’avais peut-être gagné un ami…

Ensuite, gentillement, il proposa de faire la cuisine avec moi. Comme ça, sans attendre rien en retour. Malgré que son visage sans expression ne m’aidait pas à en soutirer une émotion. Ses gestes, par contre, demeuraient révélateurs. Tandis qu’il s’occupait des carottes, ses gestes, précis mais délicats, un peu enjoués, trahissaient sa joie de travailler. Pour faire plaisir aux autres consommateurs? Pour avoir quelque chose à faire de ses dix doigts d’un peu utile? Cet aspect restait étranger, car Dosan restait complètement silencieux, perdu dans ces pensées qui étaient destinées peut-être aux arbres, ou à une personne en particulier.

- Dit, qu’est-ce qui t’as ammené ici?

- Je suis tombé ici par harsard et j’ai aimé les champs de citron.

Bang. L’ouverture dans la porte qui se dressait entre nous que je tentais de créer venait de se refermer brusquement, sans aucune autre explication sur le pourquoi il cherchait quelqu’un dans le bar, pourquoi il préférait la bière tiède, aussi. Le pourquoi il avait décidé de placer sa confiance absolue et son amour en des troncs et des feuilles inertes qui ne savaient parler au lieu des humains empreint d’une certaine chaleur. Je ne lui demandai plus jamais cette question.

Au fait, Dosan ne signe jamais son nom complet, uniquement H. (le propriétaire du duxplexe qu’il loue seul pour l’instant en a fait une de ces crises, mais a fini par renoncer). Je l’ai appris en même temps que ce qu’il souhaitait faire de son temps, pour gagner sa vie et son intérêt pour les citronniers. En fait, je lui ai tout simplement demandé son nom, pour voir s’il possédait une famille dans le coin, qui justifirait son installation ici. Je me suis heurté au H., désormais devenu une habitude. Qui sait, peut-être est-ce son vrai prénom, cette lettre solitaire?

La veille de Noël, il m’a tout de même aidé, bénévolement, à servir les plats aux bonnesgens venues se remplir la panse. Il discutait avec madame, écoutait monsieur, un sourire collé au lèvre, un des seuls qui a allumé son visage autrement aussi inexpressif que ses meilleurs amis dehors. Un vrai? Certainement, il s’amusait à intéragir avec les gens. Il voulait décidément que les villageois l’acceptent comme un des leurs. Ce qu’ils ont eut tôt fait de réaliser. Bientôt, on le saluait dans les rues, on lui offrait des gâteaux en échange de quelques services ménagers. Il se spécialisait dans les commandes d’épicerie pour la brasserie et la cuisine, tout ça en plus de défendre ses protégés des vauriens qui couraient dans les champs. Nous sommes devenus des bons amis, au fil du temps, au fil des petits coups de pouce qu’il m’offrait. Bref, c’était un homme ordinaire, malgré le H., le fait qu’il préfère la bière tiède, sa fascination pour les arbres et le mystère qui l’a ammené à venir s’installer dans un quartier perdu au fin fond de la France.

Six mois plus tard, je passais dans les champs de citronniers, en route vers la boutique, qui devait ouvrir dans un après-midi tardif à son habitude. La dernière nuit, elle était demeurée bondée de touriste riant fort et buvant un peu plus que de raison. Merci aux belles journées qui donnaient le coup de départ à l’été, saison la plus productive. J’espérais apercevoir Dosan sur mon chemin, qui gérait l’endroit comme un agent de police spécialisée. Quelque fois, lentement, il marchait entre les rangées bien ordonnées, humant l’odeur alléchante de tarte au citron qui planait dans l’air à chacun de ses pas. Il s’arrêtait devant un grand feuillu, regardait s’il était bien en santé, si tout se passait bien pour lui. Il prennait les feuilles les plus basses dans sa main, tendrement comme une mère avec son enfant, vérifiant l’absence de pucerons. Par contre, tendre n’était pas le mot le plus approprié lorsque...

- ESPÈCES DE GIRONS DÉGONFLÉS! SORTEZ DES BUISSONS, CONNARDS!

Voilà notre fier homme, source de ces cris de colères et de ces pas de course mêlés au fracas de feuilles froissées des petits buissonnets qui variaient un peu des citronnier, qui devaient facilement résonner des kilomètres à la ronde. Balsphème après balsphère, juron après juron, il fouillait parmi les petits arbustres à la recherche de ce que je pensais être des enfants s’étant approchés un peu trop de l’écorce des arbres de Dosan au goût de ce dernier. Cueillir des citrons pour plats principaux et desserts devenait dangeureux si l’on ne prennait pas la bonne technique et surtout si Dosan nous voyait en prendre plus que dix par jour. Pour un foyer, dix c’était beaucoup, mais pour un bar qui sert des tranches de citrons dans les verres, il pourrait en manquer si mon ami ne n’autorisait pas à en prendre un peu plus.

Des cris retentirent, les oiseaux docilement perchés dans les branches en recherche d’un peu de repos bien mérité s’envolèrent d’un coup, en même temps et cui-cuitant à perte d’ouïe, formaient une cacophonie assez cocasse, dirais-je. Les champs de citronniers devenaient un peu plus animés, quelques fois, avec la présence de cet homme sans histoire, sans nom. Et, sincèrement, le ménage qu’il avait gouverné au début de l’année, en chassant les rebelles bruyants qui avaient élus repaire sous l’ombre de ces branches, rendaient l’endroit un peu plus sécuritaire et rassurant. Cette nuit là, je n’aurais jamais cru que lui, qui avait bu sa bière tiède, deviendrait un de mes bons amis et un gardien assez… spécial.

- VOUS VOILÀ, VOUS! ALLEZ, DÉGUERPISSEZ, ET QUE JE NE VOUS VOIE PLUS ARRACHER L’ÉCORCE!

Je m’approcha tranquillement, essayant de trouver une silhouette humaine entre les rangées identifées à l’aide d’un numéro peint en noir sur un bout de bois blanc, monté sur un petit piquet relativement stable, presqu’au ras du sol. Vingt-quarte, vingt-six, vingt-huit, il ne se tenait pas à ma droite, trente et un, trente-trois… Le dos appuyé sur un tronc de la rangée trente-six, Dosan se tenait, détendu, la tête contre le ciel, en marmonnant des choses que je n’attendais pas de là où j’était. Je lui envoya la main dans un geste large et visible, il ne me répondit pas. Pourtant, je savais qu’il me voyait. Après quelques minutes d’attente, je poursuivis mon chemin.

Il se pointa au bar comme à chaque soir, prenant sa place après avoir inspecté la salle bondée, ce qui lui avait pris un bon cinq minutes. Au début, il cachait cette opération, à moi, aux autres, et j’avais l’impression à lui-même aussi, un peu, comme si il ne voulait pas s’avouer quelque chose. Mais plus le temps filait, plus il prennait son temps, plus il devenait attentif. Ce soir-là, il s’accouda au comptoir, la tête basse. Ses cheveux couvraient son visage de manière un peu lugubre et malheureuse. Je sortis une bière pour la réchauffer un peu. Rien, lui qui discutait un minimum à chaque fois qu’il se pointait, c’est-à-dire tous les jours, rien pour commencer une conversation, encore moins pour sourire. Il restait là, inacessible et distant, à regarder les motifs de la céramique, pour le peu qu’il y en avait.

Lorsque je déposai son verre devant lui, aucun geste au début, comme s’il l’ignorait au même titre que mon salut cinq heures auparavant. Puis, il tendit la main, sans que je voie ses yeux, il empogna fermement, voir violamment, la boisson et la bu d’un coup vif. Puis, situation initiale, il continua à détailler le comptoir. Après deux minutes, il la rapprocha un peu, signe qu’il en voulait encore. Je remplis son verre. Même chose que la première fois. La troisième, il demanda une bière froide. Je lui servis, consterné qu’il ait pris quelque chose comme ça. Le manège dura une dizaine de fois, lui qui aggrippait son verre de plus en plus intensemment, moi avec mon regard de plus en plus inquiet. À un moment donné, j’en eus assez. Peut-être qu’il ne fillait pas bien, mais il ne pouvait pas se tuer avec alchool que je lui servais.

- Tu vas arrêter ça maintenant et me dire ce qui ne va pas, dis-je, d’un ton ferme

Nous étions seuls dans la brasserie maintenant. Seuls, sans aucun client à une table qui sirote un cocktail ou un au bar qui cherche son âme sœur… ou une remplaçante pour une soirée. Ils avaient tous désertés après minuit, lorsque la température et l’humidité avaient décidé de monter ensemble pour chasser les pauvres humains sensible à la chaleur vers l’air climatisé. C’est alors que je vis ses yeux , vitreux comme s’il était ailleurs. Ses épaules s’affaissaient de plus en plus, comme si le poids d’un secret lui écrasait. Il soupira difficilement, l’air sortant en sacade. Il me regarda droit dans les yeux :

- Aujourd’hui, c’est son anniversaire.

Sur ce, il se détendit, mais sa détresse intérieure demeurait toujours présente. Après la colère, le désespoir prennait toute la place dans sa tête, sans que je puisse y faire quelque chose. Il baissa la tête, me laissa deux billets de cent sur ma table pour payer ses consommations qui ne valaient qu’une soixantaine d’euro. Il replaça son tabouret sur le cercle qui témoignait du passage de ce dernier dans le bar, s’aidant de gestes las et pénibles. Il s’en alla sans autre mot directement adressé à moi. Lui, partit dans son monde, marmonnait d’un ton de voix à peine perspectible de là où je me tenais la même phrase en boucle :

- Il me reste un an, il me reste un an, il me reste un an.

Il me laissa là, derrière le bar, les yeux grands ouverts. L’anniversaire à qui? Un homme, une femme? Un enfant, un adulte? Un an pour accomplir quoi? D’où tenait-il autant d’argent, lui qui occupait un petit emploi qui n’aurait même pas payé un bout de pain à la fin de la journée, tellement il était inofficiel? Comment réussisait-il à payer un condo, des consommations, à survivre, tout simplement? Et qu’étaient les citronniers, à travers son regard?

- C’est un villageois, rien qu’un simple villageois, monsieur.
ET DERRIÈRE L'ÉCRAN
«Citation »



    Pseudo/Prénom ♥ ...
    Age ♥ ...
    Comment as-tu atterris ici? ♥ Un top site quelconque
    Des questions/suggestions ? ♥C’est mignon, le thème.
    As-tu lu le règlement ? ♥ passage de l'admin folle, la dite GS qui valide





Dernière édition par Dosan H. le Ven 22 Juil - 20:54, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
James Kurly

James Kurly


Messages : 78
Date d'inscription : 01/06/2011
Localisation : dans mes rêves il y a un monde arc-en-ciel, dirige toi vers le palais et demande le fou du roi

Identification Card
Métier et âge: étudiante pas normale de 20 ans
Le N'amour du coeur: Heiiiin?? peut-on m'expliquer, moi pas savoir ça ...
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeJeu 21 Juil - 17:40

Coucou Monsieur le protecteur de la nature ^^ (ou mam'selle, on ne sais jamais)
alors première chose
laisse moi sauter de joie!
*nouveau membre, nouveau membre, nouveau membre.....* /baffe, disque rayé/ XD
bref, donc je disais
Bienvenue à toi Hoooo nouveau membre =D
pense à surtout beaucoup t'amuser
et très bon courage pour la suite de ta fiche (=
et à très bientôt dans un rp, si l'envie t'en dit ^^

Ps: it's me GS, lol
Revenir en haut Aller en bas
http://riversideschool.forumgratuit.org/
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeJeu 21 Juil - 19:11

Hellooooow. Voui voui, un nouveau membre.
M'enfin, celle qui se cache derrière l'écran est une zolie petite fille. ♥

Bah, j'en suis à la moitié de l'histoire composée, et il me reste... le reste. ¬.¬
Revenir en haut Aller en bas
Maria Blanche

Maria Blanche


Messages : 15
Date d'inscription : 28/06/2011
Age : 30

Identification Card
Métier et âge: Fille de joie, 18 ans.
Le N'amour du coeur: WTF ?
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeVen 22 Juil - 11:21

Bienvenue !!
Amuse toi bien ici. Un protecteur de la nature, ça a l'air amusant, j'ai hâte de voir ce que ça va donner.
Bonne chance pour la suite (:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeVen 22 Juil - 13:24

Aahahahah, un peu trop voui voui. Merci pour l'accueil
Revenir en haut Aller en bas
Phœbe Klaiber

Phœbe Klaiber


Messages : 152
Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 28

Identification Card
Métier et âge: Voleuse - 23 ans.
Le N'amour du coeur: .Aucun.
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeVen 22 Juil - 18:19

Bienvenue à toi! Je crois que tout à était dit, néanmoins je te souhaite une bonne continuation.

Si tu as la moindre question, n'hésite pas, le staff est là pour ça -bien qu'on ne sois pas tous très présent ><-
Revenir en haut Aller en bas
https://lemon-tree.forumgratuit.org
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeVen 22 Juil - 18:41

Merci gens!
Ouais, je sais juste pas si je vais arriver à rentrer dans le temps T_T
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeVen 22 Juil - 20:55

U P : H I S T O I R E . F I N I E .
Revenir en haut Aller en bas
Phœbe Klaiber

Phœbe Klaiber


Messages : 152
Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 28

Identification Card
Métier et âge: Voleuse - 23 ans.
Le N'amour du coeur: .Aucun.
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeSam 23 Juil - 9:06

Bien, bien, j'aime beaucoup ton histoire! Elle est vivante et ma fois vraiment original.
Pour le temps impartis, si jamais tu n'arrive pas à finir ta présentation, aucun problème, pense juste à nous prévenir..
Voilà, voilà, de nouveau, bon courage!
Revenir en haut Aller en bas
https://lemon-tree.forumgratuit.org
Catherine L-R. Crowood

Catherine L-R. Crowood


Messages : 25
Date d'inscription : 05/06/2011
Age : 26
Localisation : Dans le fin fond de tes rêves...

Identification Card
Métier et âge: Styliste couturière, 20 ans
Le N'amour du coeur: Aucun, pour l'instant ♥
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeLun 25 Juil - 14:17

Ah que bonjour et bienvenu 8D
Contente de te voir parmi nous °w°
Tu vas voir, tu vas être trauma.. Euh U_U
Tu vas bien t'amuser What a Face


(oui tout le monde, je suis de retour de mes vacances 8B)
Revenir en haut Aller en bas
http://shinpi-academy.roleplaylife.net/
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeLun 25 Juil - 14:46

Eheheh.... Je suis habituée aux traumatiseurs professsionnels, j'en fais partie. MOUHAHAHAAHAHAA /pan/
Revenir en haut Aller en bas
Connor W. Maxwell

Connor W. Maxwell


Messages : 4
Date d'inscription : 05/07/2011
Age : 26
Localisation : 1, 2, 3 ... Derrière toi ! >=3

Identification Card
Métier et âge:
Le N'amour du coeur:
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeLun 25 Juil - 15:48

Ah Ah !
Alors bienvenu 8D
Et les Schizophrènes tu aimes bien ? What a Face
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeLun 25 Juil - 18:48

Ca dépend lequel. Sinon, les autres, je leur fait un gros calindelamortquituegrave O/
Merci pour l'accueil, au fait
Revenir en haut Aller en bas
Chizuko Miura

Chizuko Miura


Messages : 40
Date d'inscription : 12/06/2011

Identification Card
Métier et âge:
Le N'amour du coeur:
Comment? mais oui, oui:

Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeMar 26 Juil - 17:15

Ooooh bienvenue oh protecteur de la nature *w*♥️
Bonne chance pour la suite, et amuse-toi bien sur le forum Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitimeMer 27 Juil - 1:15

Mici Miuraa pour le zentil accueil owo
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Dosan H [loading...] Empty
MessageSujet: Re: Dosan H [loading...]   Dosan H [loading...] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Dosan H [loading...]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lemon Tree :: Ou comment bien commencer :: Ceux qui nous ont quittés..-
Sauter vers: