Ah l'été! [PV May Russel]

Ah l’été!

~ Qu’il est bon de gouter au plaisirs de la saison estivale sous un grand soleil tout rond et tout jaune suspendu bien haut dans le ciel. De plus cette journée était une journée de repos pour le jeune Shinra D.Yum et ce dernier n’avait pas l’intention de la chômer et avait décidé de la consacrer à l’achat de nouveaux vêtements dans les nombreuses petites boutiques du quartier commerçant du centre ville. Le jeune homme flânait dans les ruelles étroites de la ville sans vraiment savoir où aller errant sans destination, se laissant porter par la douce voix qui parlait dans ces oreillettes. Son baladeur étant branché en mode aléatoire et tout ce qui pouvait s’y trouver d’étrange et de bizarre défila. Des ondes d’origine différentes et de styles contraires vinrent caresser ses délicates oreilles. Jusqu’au moment où la douce voix de la belle Hatsune Miku vint titiller ses tympans. Ce fut un moment presque magique et Helmut remarquant une sorte de petite place publique un peu plus loin au bout de la ruelle qu’il parcourait à petits pas détendus. Le jeune homme s’assit sur un banc, inspira à fond avant de vider complètement ses poumons, leva la tête vers le ciel pour contempler la voute céleste qui s’étendait vers l’insondable infini de l’espace. À ce moment il sentit toute l’excitation, la colère, l’adrénaline, la tristesse, tous ce qu’il avait put ressentir durant ses derniers temps s’échapper, s’envoler rejoindre cet insondable inconnu. Tout ce que le jeune homme avait put emmagasiner pendant ces dernières semaines disparu laissant le corps du policier vide et détendu. Après cette petite pause le jeune agent repris sa route à travers les étroits passages de la ville qui semblait s’étendre sans fin.

~ Helmut finit par arriver sur la rue commerçante, cette dernière était bondé, comme toujours, on ne voyait pas à deux mètres devant soit. Les gens se poussaient, se pressaient dans un soigneux chaos. Le jeune homme se sentit presque comme enfermé dans cette foule, tout cela le mettais mal à l’aise. Un souvenir d’une opération lui revint en tête. Pendant une nuit étonnement froide de l’hiver dernier une bande de dealers présumés avait été localisé et une grande opération coup de filet avait été lancé. Tout ce déroula bien dans un premier temps mais une taupe avait surement du prévenir la bande qui avait commencé à prendre la fuite. Suivi d’une grande course poursuite sur la longue route pavé orné de hauts immeubles et de rideaux de fers. Le jeune homme se rappela de la difficulté à se mouvoir sous un froid pareil et à quel point il avait souffert de courbature. Mais maintenant tout est différent ce disait le jeune homme, il faisait chaud, vraiment chaud, trop même. Son corps entier se desséchait sous la chape de plomb solaire. Cherchant désespérément un point d’ombre le jeune homme se résout finalement à entrer dans la première boutique que son regard croisa, sans chercher à savoir se que cette dernière vendait. S’efforçant de traverser l’épaisse couche de foule qui l’entourait. Helmut jouait des coudes pour se faire un passage vers l’endroit de sa délivrance. Enfin, elle n’était qu’à quelques pas devant lui, il sentait déjà le souffle frais des climatiseurs sur son visage, enfin une source de bonheur. Le jeune homme à moitié replié sur lui-même fonça tête baissé vers l’entrée, continua toujours tout droit sans s’arrêter. Il fit par sentir la caresse polaire du doux air conditionné. Le temps qu’Helmut s’arrête il ne put éviter la personne qui elle en sortait et la percuta de plein fouet, sa tête heurtant ce qui semblait être une jeune femme tant le texture de son buste semblait plaisante. Et pour garder l’équilibre universelle des forces le jeune lui aussi fut projeté en arrière et retomba sur les fesses. Soudain il rouvrit les yeux et aperçu sa pauvre victime. Le jeune homme, tentant de reprendre ses esprit commença à se lever en demandant à la personne qu’il venait de bousculer :

En ce moment Helmut se retrouva très gêné dans cette situation, surtout quand il se rendit compte que plein de personne les regardaient d’un drôle d’œil.

La Belle saison , Partout...Sauf en Bretagne .

En cette chaude journée d’été May Russell eu envie, pour passer le temps , d’aller se détendre en ville . Son quotidien était arasant et elle voulait un peu de calme pour pouvoir faire les magasin De Lemon Tree.

C’était raté pour cette fois ci . Une épaisse foule accompagnait chaque mouvement qu’elle faisait , l’emportant dans son élan dès qu’elle stoppait.

Alors dès qu’une occasion se présenta , la jeune fille s’engouffra dans un magasin .

Il y avait un peu de monde mais cela restait tout de même beaucoup plus agréable que l’extérieur ; son beau frère ( qui soit dit en passant était TRES généreux) Lui avait donné une somme d’argent à , lui avait-t-il dit , absolument , dépenser . elle se concentra donc sur la marchandise .

Les vêtements étaient banales sans grands intérêt , May s’apprêtait à repartir quand un violent choc la heurta .

Quand elle réouvrit les yeux , elle vit devant ses prunelles , un très beau jeune homme .

Elle sourit immédiatement , enfin quelqu’un qui s’habillait comme juste son envie lui chantait ; quelqu’un qui n’avait pas Juste envie d’être dans la norme comme un mouton de panurge , un autre sourire se peignit sur sur visage , enfin quelqu’un qui s’assume pensa t’elle .


« Tout va bien mademoiselle ? Je vous prie de m’excuser… Je ne voulais pas… »


Il avait l’air si gêné qu’elle senti ses joues rougirent .


« Ne nous en faites pas tout va bien , merci de vous souciez de moi , c’est vraiment gentil »


elle planta ses yeux ambrés dans ceux du jeune homme :


« je suis May Russell , enchantée »


Il lui rendit sous sourire et parut se détendre un peu …

~ Le choc, peu violent en soit avait permis de remettre les idées du jeune homme en place. Mais voyant la jeune femme qu’il venait de projeter à terre ainsi le mettait très mal à l’aise. Cette vision le dérangeait vraiment. Et devant la faiblesse de la personne il ne put que se sentir coupable de son geste irréfléchi poussé par il ne savait quelle pulsion incontrôlable dont il était parfois la cible. Dès qu’il put se relever il se précipita vers la jeune fille s’approchant d’elle, ses yeux scrutant son doux visages aux traits marqué, un peu trop surement, certaine ne semblait pas naturelle surement faite par la main de l’Homme, ou celle de la femme qui sait… Mais tout ceci n’avait d’importance, en un premier temps il fallait s’assurer que la jeune personne allait bien et essayer de changer de secteur pour se faire oublier des civils qui les entouraient.

~ Helmut paniquait sur le moment et voulut rassurer la jeune femme, il se leva, se rapprocha d’elle-même si la jeune femme aurait put partir dans une rage intense et agir de manière violente en le repoussant. Heureusement pour lui, ce ne fut pas le cas et la douce voix de la jeune femme finit par retentir au sein de son oreille. À ce moment le jeune homme était dans un état de doute profond. Etait-ce le grand calme avant la tempête ou bien pire encore ? En quelque sorte le sourire que la jeune femme portait sur ses lèvres ne le rassurait pas spécialement, dans sa tête il se disait qu’elle préparait surement sa revanche, surement quelque chose de terrible, et peut être que les marques sur son visage était les témoins de ses actes passés. Plus le temps passait, plus un flot de stress montait dans son for intérieur. Que pouvait-elle penser à ce moment même ?

~ Quand la jeune femme se présenta le jeune homme ne sut non plus comment l’interpréter. Devait-il prendre ça comme une simple présentation ou bien un avertissement ? Sans s’en rendre le jeune homme lui rendit son sourire, se présenta de la voix la plus douce qu’il put avoir :

« Excuser moi mademoiselle, je me présente, je me nomme Helmut… Helmut D.Yum, ravi de vous rencontrez.»

~ Le jeune homme était vraiment gêné en ce moment, surtout quand il vit le visage de la jeune femme se teindre d’une couleur pourpre, il pensa alors qu’il n’aurait pas du parler et se contenter de rester muet. Elle semblait en colère, peut être ses traits, ses rainures dans son visage marqué. Helmut remarqua la couleur ambrée des pupilles de la jeune femme, cependant ne distinguant pas vraiment les couleurs le jeune homme ne savait si pour une fois il avait la chance de voir la bonne teinte dans les deux gemmes d’ambre de la jeune fille. Et repensant à son handicap et au fait que peut être il ne saurait jamais la vraie couleur des yeux de cette personne sans qu’elle ne le sache il émit un petit rire presque imperceptible pendant un petit instant presque furtif et se tut presque instantanément quand il se rappela du fait que la femme près de lui préparait surement un plan contre lui dans le but de se venger de l’humiliation subit.

~ Repensant à son idée qu’il avait eu avant Helmut pris l’initiative de se relever tout en gardant son regard tourné vers la jeune femme, car comme l’aurais dit son ancien professeur à l’école de police, « ne jamais tourner le dos à son ennemi », ceci n’était qu’à moitié vrai étant donné que le jeune homme ne considérait pas la personne comme ça mais il se tenait sur ses gardes au cas où. Il tendit sa main pour inviter la jeune femme à se relever et ajouta toujours sur le même ton avec un grand sourire :

« Que diriez-vous de boire un grand granité pour me faire pardonner ? »

"Le Sourire est le miroir de l'Âme"




May n’étais pas le moins du monde contrariée , bien au contraire , ce choc fut l’événement de sa journée .
Quand Le jeune homme l’invita à aller prendre un granité , elle sourit doucement , et accepta son offre.

Sur le chemin , elle se senti comme apaisée . Helmut avait tout de même l’air de la surveiller , et même si cette notion lui échappait , il faudrait être sérieusement atteints pour ne pas le remarquer .

Ils traversaient les rues sans rien dire , et May se senti obligé de lancer la conversation :


« Je vais vous paraître bien impolie mais je déteste les conversations silencieuses que diriez vous de me parler un peu de votre vie ? Non sans but précis mais par curiosité . »


Elle se maudis réellement pour cette phrase , le jeune homme se méfiait déjà d’elle , cela ne ferait qu’amplifier le phénomène .

Elle retomba dans ses pensées , si on lui avait demandé ça il y a moins d’un an , elle aurait sûrement elle aussi envoyé la personne qui osait lui demandé ça aller voir ailleurs ; mais aujourd’hui tout avait changé . Il suffisait qu’elle effleure de ses doigts les cicatrices de son visage pour se rappeler de son passé , à chaque fois , cela lui brisait le cœur et la ramenait directement à penser à sa mère , celle qu’elle aimait et aussi celle qui la frappait .

Elle sentait les larmes lui monter au yeux et son visage se fermer , elle secoua la tête , non elle ne devait plus y penser , c’était du passé et maintenant elle était heureuse .


Non , le fait de se dire ça n’avait rien changé , elle essaya , tout de même , dans une tentative désespérée de se reprendre .

Elle tourna de nouveau son visage empourpré vers celui de l’homme et lui sourit .

Elle se demanda alors , ce que lui cachait un visage si pur .

~Bon et bien voilà la jeune femme venait d’accepter son offre et alors ? Cela ne change pas tout non ? Quesque pouvait cacher ces cicatrices sur son visage finalement ? Décidément Helmut commençais à se demander si il avait bien fait de sortir aujourd’hui et le pire dans tout ça n’est pas là. En effet cet événement aurait put ne pas se produire et tout aurait put ce passer sans anicroche. Hélas le destin en eusse décidé autrement mais alors tout cela était bien beau mais pourquoi, pourquoi l’avait t’il inviter à se restaurer comme ça sans penser aux conséquences ? Mais il était trop tard maintenant et puis de toute façon le jeune homme ne pensait pas que sa jeune camarade irait jusqu’à commettre un crime à l’arme blanche comme ça en pleine rue…

~Bien sur son travail le confrontait à de rudes épreuves mais de tels gestes n’avait jamais était rapporté jusqu’au poste de police où le jeune homme était affecté. Helmut tentait de ne rien laisser paraitre sauf son regard de glace surveillant chaque fait et geste de la jeune fille. Au fur et à mesure de leur balade son regard commencé à fondre pour elle, mais sans baisser sa garde, il scrutait toutes les courbes du visage de la jeune May sans relâche, ses traits fins et son petit sourire. Ce dernier commençait, à force à le mettre en confiance, bien sur pas comme une vraie amie mais le jeune homme se sentait de moins en moins terrifié par les cicatrices ancrées dans la peau de la demoiselle.

~Le chemin se passa sans grand accident majeur. Mais un silence de plomb commençait à s’incruster entre les deux personnes, semblait long, sans fin, presque insupportable jusqu’au moment, qu’Helmut bénit presque où la demoiselle se mit à parler, à aussi exprimer son exaspération au sujet de ce blanc et de cette marche silencieuse qui pesait sur l’esprit du jeune homme. Mais là encore une impasse ce dressait en face de lui, de quoi pouvaient-ils parler à l’instant ? Car de toute bonne foi le jeune policier ne voulait parler de sa vie et encore moins révéler son identité auprès de sa charmante camarade de balade. Mais aussitôt une solution se fit pressentir dans l’esprit d’Helmut, qui releva la tête et répondit.


~Finissant sa phrase il se mit à remuer du chef dans le but de trouver le petit bar dont il avait pris l’habitude de consommer ce divin breuvage glacé. Il finit enfin par ce souvenir la direction. Sans s’en rendre compte il posa délicatement sa main sur l’épaule de la jeune femme et indiqua la direction d’une petite ruelle assez étroites, qui semblait être un raccourci pour arriver à leur destination.

~ C’était, comment dire… vraiment une journée bizarre, à vrai dire, plutôt différente de celle que le jeune homme avait escompté passer, ceci dit cela ne le déplaisait pas trop. Cette rencontre aussi étrange soit-elle, sans parler du personnage en présence ni de son caractère qui ne semblait pas si vicié que ça tout compte fait. La jeune femme bien que quelque peu réservé vis-à-vis des actions entreprise par Helmut, des petits rien, des esquives presque invisible, imperceptible à la vue mais pas au toucher. A chaque fois que ses doigts eurent frôlé le corps de la jeune demoiselle il pouvait sentir quelque chose d’autre que de la colère. Quelque chose, d’assez superficiel qui semblait divulguer quelque chose de plus profond, comme si on mettait un sparadrap sur un bateau gonflable pour que celui-ci se remette à flotter.

~ Mais pour le moment la question était tout autre, en effet qu’est ce que l’unicité ? Car ce qu’il avait en face de lui était unique… Oui en effet… Unique… C’était le premier mot qui venait à l’esprit du jeune homme, ses mains collées à la paroi un peu fraiche du gros congélateur du glacier. C’est décidément un pur régal pour les yeux et pour le ventre de venir ici se disait-il. A chaque fois le même plaisir d’abord le moment de découvrir ce que le patron avait préparé de nouveau et puis ensuite choisir le bon parfum, voir le mélange qui ravirait le plus les papilles du jeune homme. Cette fois-ci il essaya de se ménager le plus possible devant l’étal mais la tentation était grande. Voila des années qu’il venait ici pour déguster le granité le plus fin de toute la ville. Bien qu’il n’y ait pas de championnat Helmut insistait vraiment sur le fait que le patron méritait le titre de champion du monde dans sa catégorie.

~ Le jeune homme finit par reprendre son calme et son flegme naturel. Il se redressa et passa sa main sur son tee-shirt pour essayer d’effacer quelques traces de faux plis dessus. Il remit sa tête et ses idées en place et planta son regard quelques secondes, prit une moue quelque peu bizarre et finit par tirer quelques conclusions hâtives, se retourna vers le patron et commanda une des spécialités du chef : le sunset sundown qui est ni plus ni moins, pour le jeune homme le meilleur assemblage qui puisse être, le doux mariage du voluptueux levé de soleil traduis par l’arome de la banane et d’un zeste de kiwi et pour conclure la révolution du gobelet, la festivité du couché de soleil aromatisé aux fruits de la passion et à la myrtille légèrement acidulé. Le gérant s’exécuta sur le champ et prépara deux coupe du divin cocktail qu’il posa sur le comptoir, Helmut s’en saisit, régla ce qu’il devait au serveur se retourna vers la jeune femme et lui tendis avec un immense sourire :

« Tiens régale toi. Ceci est ce qui pourrait le mieux définir ma vie, douce et festive et qui réserve pleins de secrets cachés. »

22-22 ? This song is For U <3





[code][code]En Trempant ses lèvres dans ce breuvage May fut frappée par une sensation qu’elle n’avait jamais ressentit auparavant , on peut difficilement se dire qu’un simple granité ( même des meilleurs) puisse avoir cet effet et pourtant ce fut le cas .Ce fut doux mais en même temps de petits éclats de pétillement faisaient surface , ce qui empêchait le granité d'être fade . Il y avait un goût fruité qui faisait pensé à la mixité .La Jeune femme pensa que toutes les hypothèses qu'elle avait conjecturée auparavant sur la vie d' Helmut se vérifiaient à l'aide d'une simple boisson .

Ce fut d’ailleurs comme l’avait promis le jeune homme un aperçu de sa vie , ce fut amer pour son ego , qui prit en un coup , mais doux pour ses papilles .Elle se demanda comment il pouvait avoir une vie si facile alors que la sienne était si compliquée qu'elle en était presque dénuée de sens ;surnaturelle.


Comme une sensation de jalousie l’emplit , elle le détestait d’avoir eu une vie si calme , si rafraîchissant , qui paraissait si heureuse . Sincèrement si on comparait sa vie à une boisson ce serait plutôt de la vodka ou du détergeant à choisir . La vodka irrite la gorge en passant mais on a l’impression d’être invincible que le monde nous appartient , une impression de bien être … le problème c’est que tout cela reste une impression et quand il faut revenir sur terre rien n’est plus difficile que de se prendre la réalité en pleine face .


Pendant toutes ses années May s’était leurrée , elle avait vécu une vie de débauche et si elle n’avait pas été l’actrice elle y avait assistée impuissante , comme elle avait subit des affronts tous pire les uns que les autres , tellement sec et dur que tomber à genou sous les coups était devenu une promenade de santé, un simple plaisir . A ce moment précis elle effleura une de ses cicatrices pour vérifier sa présence comme si tout cela n'était pas qu'un simple rêve et qu'elle pouvait se réveiller à tout moment , elle frissonna .


May s’en voulait d’avoir des pensées si sombres alors que la vie pouvait s’offrir a elle , cette journée n’était rien de ce qu’elle attendait mais elle était si agréable , alors pourquoi la gâcher en songeant au passé . Elle n'avait aucune réponse , cela était normal car le simple fait d'y repenser s'était comme du masochisme


« Je n’ai jamais rien goûté de tel c’est absolument délicieux »
dit-elle au jeune homme

« Votre vie doit l’être si elle ,en est semblable »

Lui répliqua la jeune fille avec le sourire le plus éclatant qu’elle avait en réserve .
Tout en étant gênée d'avoir fait une phrase si nulle et puérile .Il était vrai qu'elle semblait plus mature et réfléchie dans son esprit.mais bon ...

Ils restèrent a discuter tout en marchant ,se faisant bousculer à chaque pas . Gênés par la foule, ils s'en éloignèrent en prenant une petite ruelle détournée débouchant sur une artère visiblement déserte , ce qui était bizarre en temps de solde. Puis La jolie brune pût observer les boutiques de plus prêt et comprit , rien de bien intéressant, pour des filles venues faire les magasins en quête de vêtements , c'était des galeries d'exposition à la peinture d'artistes locales.Ils continuèrent et non loin de là se trouvait un parc , la verdure était omniprésente , et il était peu fréquenté , l’endroit idéal pour se poser et lire. Ils s'installèrent sur un banc, sous un saule pleureur pour continuer leur discutions .

« Arrêtez moi si je parle trop, il paraît que je pose trop de question »

dit-elle en rougissant , il était vrai que pas plus tard que la semaine précédente un garçon lui avait fait la réflexion et elle s'en était sentie honteuse et à la fois coupable .


Mon Dieu , Mon Dieu , Mon dieu , je suis vraiment désolée de ne pas t'avoir répondu plus tôt mais figure toi que je me suis cassé des doigts donc je galère un peu beaucoup BREF Désolée désolée désolée