Lemon Tree
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Lemon Tree

« La vie est un grand film, où chacun doit définir son propre rôle. »
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -14%
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 ...
Voir le deal
799 €

 

 Estel Feathers -ou comment bâcler une fiche :D-

Aller en bas 
AuteurMessage
Estel Feathers

Estel Feathers


Messages : 51
Date d'inscription : 02/06/2011

Identification Card
Métier et âge:
Le N'amour du coeur:
Comment? mais oui, oui:

Estel Feathers -ou comment bâcler une fiche :D- Empty
MessageSujet: Estel Feathers -ou comment bâcler une fiche :D-   Estel Feathers -ou comment bâcler une fiche :D- Icon_minitimeDim 12 Juin - 20:09


Toi et seulement toi


La photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard.
John Stuart Mill



FEATHERS Estel

♥️ Famille : Sophie Feathers : Sa nièce, il l'aime plus que tout, il c'est jurer de s'en occupée et de la protégée en l'honneur de Georges.
♥️ Age & lieu de naissance: Paris, vingt-cinq ans.
♥️ Sexualité : Bisexuelle à grande tendance homosexuel.
♥️ Métiers : Professeur de lycée d'Art et de Littératures.
♥️ Groupes : Luxure! ♫
♥️ Signe particulier : Un tatouage au creux de son poignet, fait au fer rouge.



Et dans cette jolie tête, on trouve quoi?
« Embué de fumée ♪ »



C’est un mauvais garçon, un délinquant !
Vous trouvez vous ?
Apparemment.
Que voulez vous que je vous dise ? Que je vous apprenne que vous ne savez pas déjà ? Que voulez vous que je vous enseigne puisque votre idée est déjà faite ? Vous le trouvez mauvais, malsain, égoïste, froid et distant. Oui, peut être et alors ? Vous le trouvez dérangeant, incroyable, meurtrier, apaisant et quoi d’autre ?
Que puis-je vous dire ?
Peut être qu’il est intelligent, très intelligent une de ses rares qualités dans un océan de défauts. Trop intelligent même, trop dérangeant. Toujours tout calculer, tout sonder, tout comprendre. Vous détestez cela, avouez le, vous haïssez qu’il puisse vous comprendre et dévoilez vos moindre secret. Vous ne pouvais supportez qu’il sache mieux que personne qui vous êtes réellement, mieux que vous. Et pourtant c’est ainsi, pour vous ne pouvez rien changer il est au dessus de vous. Toujours prévoir depuis sa figue avec son frère, avoir un coup d’avance voir deux, savoir comment réagir, rester calme, ce battre et vaincre.
Vaincre ?
Oui, vaincre.
Il en à besoin pour survivre savoir qu’il à vaincue ses souvenirs et ses douleurs, qu’il à oublié et laissez passer sa souffrance. Il en à besoin pour avancé, bien plus que n’importe qui. Vaincre n’importe quoi, n’importe quand, être le meilleur restez parfait en tout circonstance.

Perfectionniste, c’est bon vous faites le rapprochement ? Que cela sois dans ses photos ou dans son travail, dans ses relations et de ses peines il restera sur cette ligne droite. Toujours faire quelque chose d’exceptionnel, mauvaise conduites que lui as appris sont père. Père qu’il hait, seul homme au monde qu’il voudrait tuer. Trop tard il à était emprisonner.

Dommages, pour vous mais Estel est un homme tourmentez. Bien qu’il ne le montre que très rarement il reste discret sur sa vie et sur ses souvenirs. Il ne cherche pas à savoir et à comprendre ce qui c’est passé réellement, seule chose d’ailleurs qu’il supporte de garder flouté. Tourmenter et perdue donc, perdue depuis la mort de son jeune frère, de sont amant. Il l’aimait, l’aimait plus que tout, plus que sa propre vie ou que sont sentiment de reconnaissance. Pour lui il c’est battu, il a vécue, il est mort malheureusement. Sont frère à disparut et plus jamais sont nom ne dois être évoqué. Pourtant il vit, lui et sa nièce, vivent encore. Sachant pertinemment que Laura à dut ce suicider quelques part. Et malgré cela ils vivent, malgré ses tourments et ses peines…
Que puis-je vous dire d’autre ?
Rien que vous ne savez déjà, rien que je ne peux vous apprendre... N’oubliez juste pas que sous ses sourires et ses manières de dévergonder, excentrique il reste profondément touché et souffriras encore bien que vous le croyez…

Car après tout, ses sourires n’atteignent jamais ses pupilles.



C'est physique, c'est sportif, ou pas!
« Ne suis-je pas magnifique? ♫ »



Le présenter, voilà ce que vous souhaitez, très bien, mais sachez qu’une fois ne suffiras jamais pour que vous puissiez apercevoir et comprendre ce qu’il en coûte de connaître Estel Feathers, nom stupide comme vous, comme lui, comme nous pauvres âmes égarées sur un chemin ensanglanter. Il est en premier lieu attirant, mais non dans le bon sens du terme. Une attirance mystique, inquiétante et affolante, une auras glacial et un amour inconditionné pour la solitude. Des iris grisâtres d’une profondeur incomparable le caractériseront. Iris inquiétantes semblant chanter la valse d’une morte hantée par le regret. Spécial, fou ? Sûrement. Admirons le, posons nous, observons. Des cheveux brun mi-long, en bataille, tombant disgracieusement sur ses cils à hauteurs vertigineuses et sur ses épaules frêles d’homme perdue. Un regard cendre, enflammant de peur et d’incompréhension. Un visage de dieu grecque, parfait, semblant tailler dans la roche, aux traits fins mais durs, à la mâchoire carré et au pommettes hautes. Une bouche plissée dans une moue incroyable et une mâchoire puissante mais toujours dans une finesse et une grâce absolue. Un corps linéaire et blanc, pâleur extrême de l’impureté de la neige et des cadavres. Vêtements sombres, dépareillés et usés. Bottes de cuirs noires aux sangles détachés et aux cliquetis métalliques accompagné des nombreuses chaînes de ses poignets et de son cou palpant son pouls accélérer. Un être imparfait et démoniaque, un être perdue, un de ses anges dont la vie ne nous appartient plus…





Une lettre pour nous...
« ... »



-Votre frère est mort…
L’homme, droit, qui ce tenais devant les policier ne semblait comprendre ses mots qu’on venait de lui prononcer. L’air hagard il prononça un bref « pardon ? » avant de trembler de tout sont être. Il ne voulait comprendre ce qui lui arrivais, ne voulais savoir ou ce placer outre la mesure. On lui répéta la phrase, une phrase qu’il ne voulait saisir. Même s’il le savait, depuis le départ, depuis le coup de fil de Laura. Même si il avait comprit voilà longtemps, que quelques chose s’était briser en lui en ce moment même il ne pouvait comprendre. Il devait le voir, le voir et ce rassurer ! Ce rassurer ce dire que ce n’était qu’une immense farce. Le déni, première phase d’un deuil.
-Votre frère, il est…
-Je veux le voir !
Venait-il d’hurler, lui, l’homme peut être plus beau que la moyenne. On lui refusa bien évidemment, il recommença encore et encore, on craqua. On le laissa pénétrer dans la maison sous le regard curieux des voisins et des passants interpellaient par les lumières incongrues des gyrophares en pleine nuit. Cette allure de fête morbide passait dans les regards des autres tandis qu’on criait des gaillardises à gauches et à droites. Bien vite l’homme arriva devant les cordons de sécurité qui entouré sa propre chambre. Il n’aperçut même pas la femme et l’enfant qui pleurait coincer dans un coin entre un policier qui essayait vainement de les calmer, il ne voyait pas non plus la lettre posait contre le bureau, le testament qu‘on venait de lui laisser. Non, tout ce qu’il pouvait apercevoir était les pieds ballant et la chaussure mal lassé qui tomba dans un bruit sort contre le parquet. Sa vue ce brouilla, il sombra.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

-Estel ! Estel ! Viens ici !
Un enfant apparus dans l’encadrement de la porte, les cheveux brun encerclant un visage au trait enfantin mais à l’allure mature. Il avait accourus, entendant la voix grave de l’homme qui l’appelait. Et Noah savait mieux que personne que quant cette voix appelait il ne fallait mieux pas la faire attendre.
-Oui monsieur ?
-Tu va avoir un frère.
-Un frère ? Demanda incrédule le même enfant, le visage fermé. Mais madame est stérile, n’est-ce pas ?
-Tu es un enfant intelligent Estel, tu le sais et je le sais, tout ce qui est utile pour moi je le ramène chez moi.
-Je suis utile monsieur ?
-Oui mon fils tu l’es. Tu es le meilleur objet qu’un père puisse rêver d’avoir.
Le garçon déglutis péniblement, ne voulant montrer sa peur et sa colère. Non, il devait ce calmer et réfléchir, l’homme ici présent l’avais sauvé de la rue et de sa violence. Il devait avoir confiance, il était son père, son père… Quel mot stupide pensait ainsi de cet homme. Néanmoins il devait continuer d’être utile, par gratitude et ce gamin, le prochain malheureux aussi le serait.
-Entre mon garçon.
Un petit blond tremblant fit quelques pas dans la pièce luxueuse.
-Estel je te présente Georges.
Le brun, fatigué, acquiesça.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

-Estel ! Estel !
Il ouvrit faiblement les yeux éblouis par la lumière criante. Au dessus de lui une jeune femme au trait tiré et à la cascade de cheveux bruns lui tendait la main, il l’attrapa.
-Laura… ?
-Oui Estel, c’est moi… C’est moi.
Il la serra dans ses bras aussi fort qu’il le put, pleurant sourdement.
-Je suis…
-Non ne dis rien Estel… Tu souffre bien plus que moi…
Finalement il dut ce détaché de la femme, pour qu’on puisse prendre sa tension, et lui donner un café à boire. On les conduisit ensuite sur une table de fortune installer dans le jardin ou un inspecteur les attendais, il leurs présenta ses condoléance, ils les acceptèrent dans un sourire narquois.
-Qui étiez vous pour la victime ?
-J’étais sa fiancé, et voici son frère, Estel Feathers. Murmura faiblement la brune ambrée.
-Vous avez dis victime ?! Hurla le brun, plaquant ses mains sur les planches en bois qui tremblèrent sous sont poids.
-Oui, les premières analyses démontre qu’il fut battu puis étranglé avec une ceinture bien avant d’être attacher de la sorte. Nous en saurons plus demain.
-Mon frère à donc était assassiné !
-Oui monsieur, nous le pensons.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

-Je ne pense pas qu’il aurait apprécié sont enterrement.
-Georges n’appréciait pas grand-chose Laura.
-Si, toi il t’aimait.
-Il t’aimait aussi Laura ainsi que Sophie.
-C’était réciproque…
-Je m’en doute Laura, je m’en doute.
-Qui aurait put faire ça Estel ?! Qui ?!
-J’ai bien une idée… Mais…
-Ton père n’est-ce pas ?
-Ce n’était pas mon père Laura ! Ca ne l’as jamais était !
-Je sais ce que tu ressens mais tu devrais retourner le voir !
-JAMAIS ! Pas même pour Georges !
L’homme brun partit en claquant la porte, tremblant, laissant la femme effondrée contre un mur, pleurant toutes les larmes que sont corps contenait encore. Estel, quant à lui, s’effondra contre le sol, la tête entre les mains accouder au mur. Il resta la un certains temps, avant qu’une enfant de neuf ans, vêtue de dentelles ce présente à lui, mordillant une peluche nerveusement.
-Papa ne reviendras pas, n’est pas ? Demanda-t-elle avant de s’assoir, de tirer la manche de son oncle et de coller son visage trempé dans la main rassurante et froide de l’homme.
-Sophie… Ton père est partit faire un très long voyage…
-Père est mort, hein oncle Estel ?
-Ne soit pas si formel Sophie, ton père et moi-même détestions ça…
-Pourquoi grand-père n’est pas venue ?
-Il est mort ma chérie, voilà pourquoi. Murmurât-il incrédule.
-Je ne te parle pas du père de maman, mais de ton père à toi et à papa.
-Je n’ai plus de parent Sophie.
-Si ! Il y a grand père ! Il est au courant ?!
-Sophie, ne te mêle pas de ça.
-Quoi ?! Tu dois…
-Oublie cette maturité, tu n’es qu’une enfant. Coupa le brun froidement.
-Maman ne peux pas assurer seule sans papa, je dois être là pour elle…
-Je t’aime bien tu sais Sophie.
-Moi aussi je t’aime Estel.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
-Jeune maître ?
-Oui Henri ?
-Monsieur vous demande, il vous attend avec Georges dans son bureau.
L’enfant brun ce releva d’un bond, lissant nerveusement ses mèches rebelles avant de partir en courant dans les couloirs du manoir. Georges était avec lui, son frère c’était encore fait prendre ! Il le savait, il devait courir aussi vite qu’il le pouvait car aujourd’hui tout aller changer, il le sentait. Les hurlements résonants au dernier étage lui retournèrent le ventre et l’odeur douceâtre du sang qui augmentait au-fur-et- à-mesure qu’il approchait le firent vomir tout ce qu’il pouvait à l’ombre d’une vieille armure exposait ici et là avec une multitude de tableaux et de sculptures. Les cris redoublèrent puis s’arrêtèrent d’un coup, non il n’avait put faire ça. Reprenant son courage à deux mains, oubliant la peur, le désespoir, l’enfant brun d’une quinzaine d’années pénétra avec fracas dans le bureau. Tremblant dans un coin un petit blond était recroquevillé, pleurant, le dos en sang les vêtements en lambeau. Plus loin, l’homme, leur « père », le visage amusait tenait dans ses mains un fouet aux lanières de cuirs encore luisantes du liquide pourpre.

-Monsieur… Qu’avez-vous fait ?
-Oh Estel… Bienvenue mon fils, entre, entre.
L’enfant accepta, il fit quelques pas dans la pièce, ne quittant pas du regard le corps tremblant de son frère.
-C’est ton anniversaire aujourd’hui, n’est-ce pas mon fils ?
-Oui Monsieur.
-Alors je vais t’offrir un magnifique cadeau…
-Lequel ? Demanda t-il le visage déformé par la colère, faisant quelques pas en directions du blond, dévisageant maintenant de tout sont être son sois disant père, ce vieux fou aux allures meurtrières.
-La mort de ce déchet de l’humanité. Et c’est toi qui vas le tuer, n’est-ce pas magnifique ?!
L’homme explosa d’un rire glacial à la suite de cette phrase, dernière épopée, dernière que le gamin lui laisserait prononcer. Fonçant sur lui, Estel, actionna le grand d’arrêt à sa cuisse qu’il c’était confectionner, avant de planter la lame tranchante dans le ventre du vieux, qui sous la surprises de cette nouvelle révolte n’esquissa pas un geste avant de tomber lourdement, dans un dernier râle, sur le marbre blanc recouvrant le sol. Pendant ce temps là, le brun empoigna le bras de son jeune frère et le tira de force vers le couloir, puis plus rapidement vers la rue, tremblant, pleurant, sans bagages et sans argent.
-Je te protégerais Georges jusqu’à la fin de ma vie je te protégerais toujours ! Car je t’aime plus que tout Georges tu m’entends ! Tout changera maintenant… Ca ira, je te le jure, je te le promets ! Alors je t’en pris… Arrête de pleurer…

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

-Pourquoi tu fais tes valises ?
Le brun ce retourna surpris, soupirant, il avait stupidement espérer qu’on ne le trouverait pas si vite. L’enfant l’observait durement elle s’approcha et tira faiblement la manche de son oncle, une nouvelle fois.
-Tu compte partir toi aussi ? Tu veux me laisser seule ?
-Tu va être avec Laura ma chérie, tu ne seras jamais seule.
-Maman ne m’aime pas…
Il l’a prit dans ses bras, caressant la cascade de cheveux roux, la serrant du mieux qu’il le pouvait, essayant de la rassurer. Il en était incapable.
-Laura t’aime, elle t’a toujours aimée…
-Non… Plus depuis que papa est mort.
-C’est faux Sophie…
-Je veux partir avec toi !
-Sophie s’il te plaît, je ne peux pas t’emmener…. Comprend-le…
Alors que l’enfant voulut répliquer un hurlement ce fit entendre plus bas dans un énorme fracas de verre briser.
-Sophie, tu ne bouge pas, tu ne descends sous aucun prétexte. Ordonna le brun avant de vérifier stupidement que sont cran d’arrêt était toujours à sa cuisse. Le regard vague il descendit aussi vite qu’il le put les escaliers et déboula dans le salons. Laura, au sol, avant le bras au sang du verre briser encastrer dans se bras. La vitre à côté n’était plus qu’en miette.
-Georges est mort depuis un an maintenant, monsieur, c’est un peu tard pour venir présenter ses condoléances. Vous ne trouvez pas ? Demanda narquois Estel, les bras croisser, le regard plongeait dans celui du vieil homme. Maintenant il lui paraissait bien petit, bien vieux, par rapport à ses souvenirs à ses craintes. Maintenant, il n’avait plus peur plus du tout.
-Cela fait longtemps mon fils… Bien longtemps.
-Huit ans très exactement, vous ne m’aviez pas manqué monsieur.
-Insolent, tu as prit la place de ton déchets de frère ?
-Aillez un peu de respect pour les morts, surtout ceux que vous tuez monsieur.
-Ne crois pas me faire peur, Estel, je te connais mieux que personne. Pourquoi t’être retourné contre moi ? Pour ce gamin ? Cette aberration ? Mais j’ai tout compris tu sais Estel, je le sais pertinemment. Tu étais amoureux de lui.
Le brun, les poings serrés regardé sans ciller l’homme, une haine incommensurable brulant dans son corps.
-Maintenant que ce rejeton est mort, si tu revenais avec moi ? Maintenant que je l’ai fait tué ! Hein Estel ?!
-Vous l’avez violé, comme vous me l’aviez fait ?
-Bien entendue Estel…
L’homme s’approchait dangereusement, caressant la joue de son présumé fils, un sourire de fou étirant ses lèvres.
-Mais il n’y a que toi que j’aimais.
Le brun lui sauta dessus et le roua de coup, le roua de coup jusqu’à ce que le sang gicle sur son propre visage dans un rire dément. Trop de frustration… Bien trop de frustration tant contenue durant toutes ses années, un dégoût profond pour lui, pour l’homme pour eux. Une haine, un désir ardent de protections, d’amour, de bonheur. La haine, la haine, comme un poison puissant, Noah avait explosé rejetant sont trop plein de sentiments bien trop refouler.

La police arriva accompagner d’Henri, pour arrêter l’homme, le vieux Feathers. Il fut emprisonné à perpétuité pour emprisonnement, kidnapping, détournement et viol sur mineur. Dénoncé par Henri qui durant toutes ses années avait amassé des preuves contre sont ancien maître. Malgré tout cela l’affaire Georges Feathers ne fut jamais élucider. Quant à elle Laura disparut de la circulation laissant derrière elle une fille et une multitude de souvenirs idiots.

Deux ans plus tard, Estel Feathers adopta sa nièce, tout juste âgé de seize ans, avant de partir vivre avec elle a Lemon Tree ou il avait déroché un poste de professeur d’art et de littérature dans un lycée quelconque. Plus jamais le nom de Georges Feathers ne fut évoqué, pourtant encore aujourd'hui quelques personnes continuaient à lui rendre hommage à leurs manière, en vivant tout simplement.



ET DERRIÈRE L'ÉCRAN
« Y a de l'amour dans l'air ♪ »



    Pseudo/Prénom ♥️ LastApril ♥️
    Age ♥️ Vingt-et-un ans de conneries mes chéris! =3
    Comment as-tu atterris ici? ♥️ Ahahaha! ♥️
    Des questions/suggestions ? ♥️Nop'
    As-tu lu le règlement ? ♥️ Yep', est c'est de la validation express que je me fait! Very Happy


Revenir en haut Aller en bas
 
Estel Feathers -ou comment bâcler une fiche :D-
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Formulaire fiche pré-definis
» Comment occuper sont temps.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lemon Tree :: Ou comment bien commencer :: Présentations Validées!-
Sauter vers: