Une rencontre innatendu

Je sortais tranquillement de l’hôtel et comme à mon habitude j’étais habillé de façon tout à fait normale sweet baskets tee-shirt. Je marchais les mains dans les poches jusqu’à mon lieu de travail : la boîte de la ville. J’arrivais à destination au bout d’un quart d’heure. J’ouvris doucement la grande porte blindée. Je me retrouvais à présent dans les coulisses de la boîte. Ce soir je n’étais pas d’humeur spéciale à vrai je me demandais même si je pensais je n’avais même pas réfléchit à se que je ferais ce soir. Mon costumier me sauta dessus. Aujourd’hui il avait opté pour des affaires fla chis et une couleur d’un bleu turquoise qui me brulait les yeux.
-« Ce soir tu seras un beau et sexy Pompier ! » s’exclama-t-il d’un air gai !
Je ne réagissais pas le regardant d’un air maussade. Ce soir je n’avais aucune envie de monté sur scène, strictement aucune. Mais le boulot c’est le boulot je pris le costume que l’on m’avait attribué. C’est une jolie combine bien moulante avec une longue fermeture éclair pour la retiré facilement. Me mettant à nue pour m’enduire d’huile histoire de faire ressortir mes beaux muscles bien dessiner. Ce soir mon accessoire sera le casque de pompier. Avant de travailler mon show j’enfilais le costume. Mon maquilleur vint me rajouter quelque touche de maquillage et me recoiffa malgré mes protestation, sa ne me dérange pas quand on me touche mais pas les cheveux tout sauf les cheveux.
Je commençais à préparé mon show et finis de le mettre au point au bout d’une demi-heure. Il est maintenant 00h30. Au bout de quelque minute se fut mon tour et je fus projeté sous les feux des projecteurs. Des cris d’hystérie et sur aigu fusé de toute part, effectivement j’étais aimer du public. Je fis monté la tension en attendent que le public en demande avant de commençais tranquillement mon show, la température commença doucement à monté.
Je commençais doucement mon streap tease retirant doucement et lentement mes vêtement les fesant languir sur certaine partie les fesant hurler le public a s'en tué les timpant. Comme à mon habitude j'allais inviter une personne d'une public sur scène, je saisis le micro oh milieu d ela scène n'étant plus qu'en string en cuir.
"Bonsoir" déclarais-je d'une voix mieulleuse.
Les cris doublaire de volume les gens se bousclant devant la scène se qui donnait du fils à retordreaux gardes devant la scène. Je demandais à voir mon public parcourant de mes yeux émeraude la foulle qui se trouvait face à moi.

Avait-elle besoin de secours et d’alcool pour oublier ses peines ? Avait-elle besoin de folie et de gens dénudé pour son travail ? Oui, non peut être. En tout cas ce soir elle avait était appeler pour une affaire risquer, une affaire de dealer de drogue. Elle n’aimait pas trop ce plonger la dedans, mais Asch avait toujours dis que la mafia était utile, après tout il en faisait lui-même partis. Et puis depuis quelque temps en plus de ses vols, Phœbe c’était lancer dans une valse dangereuse entre la drogue, les règlements de compte et la peur de ce faire trouer par balles. Mais cela ne la dérangeait pas, elle en avait besoin. Besoin d’adrénaline et de stupidité dans sa vie, dans sa douleur incessante. Elle avait mis une heure pour ce préparé, une heure pour trouver une tenue assez provocante, une tenue assez perverse pour passer inaperçus dans ce lieu. Elle avait ainsi opté pour une robe ultra moulante, de cuir noir, au dos nu et au bas sûrement aussi large qu’une ceinture. Elle ne c’étais pas maquiller à l’excès, juste de la poudre, du crayon noir et un soupçon de dorée sur les pommettes et les yeux. Néanmoins aux chevilles et aux poignets une redingote de bracelet en or et argent s’entremêlait dans un tintement presque insupportable. Bottines à talons haut chausser, gagner ainsi dix-centimètre, Phœbe alias Opium dans le milieu traversa rapidement les rues, prit le premier métro et arriva au lieu du rendez-vous, le centre de strip-tease de la ville. Elle avait prit le chargement, avait signé un contrat et sur son sang, s’attendant à des représailles si le travail n’étais pas fait. Elle avait ensuite bue et fumer jusqu’à ne plus comprendre et avait sûrement couché avec deux hommes dans le coin poubelles. Elle avait fait son boulot, avait dealer la drogue et reprendre l’argent qui appartenaient à ses patrons. Avait volé une ou deux bourses et avait dansé sur scène en compagnie de deux autres filles qu’elle n’avait jamais vue. Ceci fait la deuxième partit de la nuit commencer et elle c’était poster contre une des lourdes portes battante en fer forger et avait observé la foule qui hurlait pour le nouveau danseur entrant en scène. Un pompier plutôt bien former qui lançait un bonsoir à toute la tablée. Les cries redoublèrent et bon nombre de femme hystérique jetait des strings en guise de rose sur scène. Phœbe, elle, dans son coin observait le tout, une cigarette dans une main et un verre de vodka bien remplie dans l’autre.

Beaucoup de femme me jetais leur string se qui me fit sourire, je me demandais presque si c’été celui qu’elles portaient en ce moment ou si elles les avaient amenés dans leurs sacs.
Quand les projecteurs firent apparaître mon public je fus assez surpris. Mon public était composé de femmes mais aussi d’hommes, je pense que les tranches d’âge allaient de 18, 19 ans à 40,50 ans ? Je n’en savais rien mais ils m’acclamaient et hurler à en avoir plus aucun tympan, un sourire pervers et amusé s’afficha sur mes lèvres.
-Ce soir…
Je n’eus même pas l’occasion de terminé que les cris doublé juste en entendent moi voix, une femme d’une 30ène d’années tenta même de monté sur la scène elle semblait totalement folle et hystérique un verre d’alcool à la main ces cheveux blonds décoiffé, mais cette dernière fus arrêté par les gardes quand elle commencé à monté sur la scène et fut sortit de la boîte malgré ses débattement. J’attendis que le public se calme un peux puis repris en esquivant par moment se que me jetais mon public.
-Ce soir j’invite quelqu'un à monté sur scène.
La foule explosa littéralement il y eut un faible mouvement de foule et le niveau de décibel augmenta de nouveau, se qui me surpris et mes sourcils se froncèrent légèrement mes mon costumier qui était dans les coulisse m’incita à continuer. Je me demandais presque si le public n’avait pas trop but ce soir. Je regardais de nouveau mon public mes prunelles s’attardant sur chacune des personnes, une m’interpela plus que les autres, c’été une jolie fille aux yeux doré (il me semble hein) a la peau blanche et cheveux châtain (il me semble aussi désolé je n’ai pas réussi à retrouvé ta fiche donc j’ai fais avec ton avatar).
-J’appelle la jeune fille là-bas. Déclarais-je en la pointant du doigt. Je la fixais de mes yeux émeraude. Il y eut beaucoup de protestation mais la jeune fille n’eut pas le choix et se fit porté jusqu'à la scène.

Passant une main dans ses cheveux, Phœbe posa son verre et la cigarette toujours à la bouche monta sur scène avec des mouvements fluides et incroyablement attirants. On aurait put croire apercevoir une des filles de joies des quartiers riche, une de ses filles faisant monté la température d’un regard, une des filles libérant les désirs cachés, les vices de chacun ce qui détruisait et remonter en pire. Une de ses filles intenable, incompréhensible qu’on désire sans jamais avoir. Alors en montant sur scène, en resserrant les lanières de sa robe, la belle jeune femme lança sa cigarette au sol, une fois finis, et l’aplatis de sa bottes. Elle ce prêta bien au jeu et observa de ses yeux bleuté l’homme, le strip-teaseur devant elle. Elle lui sourit et s’approcha furtivement de lui, murmurant d'un voix langoureuse un bref:

« Bonjour jeune homme.

Elle balaya ensuite le reste de la salle maintenant replonger dans la pénombre du regard. Cherchant ce qui restait de fans hystérique et repérant une sortie de secours si jamais les policiers venaient à arriver. Elle connaissait cette boite et les descentes courantes rapides qui s’affairaient. Ce lieu était l’endroit de tous les vices, de la drogues à la prostituions les quartiers mal famé, l’endroit du « quand on n’est pas dans le milieu, on n’y met pas les pieds ». Certain téméraire pourtant venait ici, pointait le bout de son nez. On les retrouvait bien souvent percer de trous. Oui cette ville n’était plus ce qu’elle était. Le fait est que les policiers redoutaient cet endroit comme le chassait. Dans le métier les petits nouveaux étaient bien souvent envoyer ici, histoire de voir s’il pourrait survivre à une descente dans un des repaires des dealers. Si c’était le cas ils seraient vite promus et reconnus, sinon, tant pis pour eux.. Phœbe quand à elle fuyait ces endroits comme la pestes, sauf pour le travail. Elle n‘aimait pas ce rendre dans ses endroits, aillant trop peur de ce faire arrêter de nouveau et jeter aux trous. Ce qu’attendais d’ailleurs avec satisfaction l’inspectrice du coin, la plantureuse Léopoldine. En temps normal elle ne serrait pas rester mais ce soir elle avait besoin de faire baiser la tension, les derniers mois avait était dur, et ses blessures la faisait souffrir. En partis celle qui à jamais burlerait, celle de son cœur, celle de sa quête stupide.

La fille avança vers la scène en fessant des mouvements souple et très attirant. Elle fini sa cigarette et la piétina avec ses bottes, un sourire en coin je n’hésitai pas et l’attrapa par les hanches pour la faire s’asseoir sur une chaise qui avait été installé sur la scène. Elle était étonnamment belle oh oui très belle elle aurait fait tourner la tête plus d’une fois mais malheureusement pour elle ce soir je ne fessais que mon boulot ce soir, mais malgré tout je ne pouvais m’empêchais de la regardais avec envie que je m’en mordis légèrement les lèvres. Un corps svelte un beau regard de beau cheveux brun, elle était habillé de façon provocatrice une belle robe en cuir laissant à nue son d’eau et bien moulante, se qui était loin de me déplaire oh que non.A vrai dire elle me fesait pensé à une tigresse.Pourquoi? Juste déjà a sa démarche on aurait put croire que c'été un félin qui se déplacé et son regard brulant, mais surtout elle semblait incroyablement et irémédiablement dangeureuse mais étionnament attirante.
Elle me sourit et s’approcha furtivement de moi elle semblait d'accord de se prendre au jeu,
-Bonsoir jeune homme
Murmura t'elle d'une voix langoureuse.Ces paroles eurent le don de me sourire, non pas un sourire pervers non mais sourire amusé.
N’importe quel idiot aurait put comprendre juste en lisant dans son regard que cette fille est bien sur d’elle et loin d’être innocente. Se qui allait me donnait du fils a retordre. Je mettais doucement à cheval sur elle puis je plongé mon regard émeraude son regard bleuté, comme les miens ses yeux été étonnamment grand aussi vaste que quand je la regardé elle me troublé. Oui elle me troublé ce qui me perturbais quelque peut je détourna légèrement le regard détournant le regard un instant histoire de reprendre mes esprit puis replongea mon regard dans le siens. Je m’approchais d’elle jusqu'à sentir son souffle chaud sur mon visage puis souris de nouveau en voyant quelle devenait curieuse. Je lui susurra d’une voix sensuel et mielleuse.
-Bonsoir jolie canon
Je lui adressai un petit clin d’œil malicieur. Bien évidement le public derière moi crié toujours jetant par moment plusieurs chose a vrai dire la scène était devenue un magasin de sous vêtements à croire que soit le public c'été dénudé soit il avait braqué décathlon la veille. Je jetais un bref coup d'oeil à la scène qui était à présent recouverte de divers sous vêtements.

Ne voyant plus rien que les yeux du jeune homme, plus que les yeux si vastes, si magnifiques d’un bleu profond, plus rien d’autre, pas même les femmes qui hurlaient, qui jetaient leur vêtements uns à uns sur scène, pas même les vigiles qui essayaient de contenir l’émeute ou encore que les drogués qui dans un coin de la pièce s’organisaient pour prendre leurs dose sans trop se faire repérer. Encore moins le patron de la boite qui récupérait un verre de vin de grande crue qu’il avala d’une traite. Ce même patron, Ethan Adams, qui deviendra plus tard un ami de longue date. Non rien de tout ça, ce qui comptait plus que ça, ce n’était rien d’autre que ces pupilles qui la subjuguaient. Elle resta quelques instants, ainsi, à les admirer, se réveillant aux paroles de son interlocuteur qui répondait à son salut. Reprenant pied, lui souriant sensuellement, elle rejeta sa tête en arrière, et posa ses mains sur les hanches blanches du danseur tout en relevant son propre bassin, histoire de lui laisser plus d’appuis au niveau de la chaise.

« Alors comment allez-vous ?

Rien de très original murmurer par la jeune femme mais elle voulait rester dans les politesses comme on lui avait toujours appris à le faire. Ne cherchant pas à répliquer quoique se soit de plus, elle fit courir ses mains sur le corps de l’homme, chantant brièvement, et lentement les paroles de la chanson, s’amusant, bien que légèrement bourré, elle gardait toute conscience des choses, saufs peut être des groupies qui la méprisaient sûrement plus que tout. Cette pensé la fit sourire et elle ne put s’empêcher d’éclater de rire se retenant de raconter une telle mésaventure imaginaire à son interlocuteur, qu’elle gratifia à ce propos d’un nouveau regard de braises et d’un sourire sensuelle.

La scène vibrée sous mes pieds et semblait vouloir s’envolée sans même laisser de traces. Mais ce corps oui, il me rendait fou, je ne pouvais m’empêché de laisser mes mains courir le long de son torse sans retenue oui j’avais envie j’en mourrais d’envie. Mon regard de braise ne ratait des belles courbes de la jeune femme, je l’observée l’occulté la découpé dans n’importe quel sens pour tout découvrir même si à travers les vêtements il était difficile de voir à quel point elle était irrésistible. Malgré ma grande fierté à mon sens de la compétition je ne soutenais que très peu longtemps son beau regard avant de le détourner pour revenir quelque minute plus tard.
Je perdais malheureusement pieds car je savais se que ce genre de chose pouvait enclencher, j’avais déjà fait cette erreur par le passé. Il m’était interdit de me laissé séduire mais je me permettais de finir de faire l’amour avec elle dans ma tête afin de revenir sur terre.

-« Comment allez-vous ? »

C’était une réponse légèrement décevante mais j’aimais ne pas avoir la tâche facile. Et oui comme tout autre cette belle créature finirais dans mon lit malgré elle après tout j’étais irrésistible aussi.
Je commençais doucement à me déhanchais, je retirais lentement ma chemise blanche qui caché mon corps de rêve, je me permettais un coup de long dans son coup puis remontais le long de ce dernier jusqu'à son oreille. Après tout le directeur ne me dirais rien j’avais droit à quelque écart après tout.

-« Mieux »

Je laissais cette phrase en suspense glissant doucement mes mains sur ses cuisses laissant la foule hystérique.